Ils sont au nombre de 69 et si la majorité des 3/4 des votants du jour donne son feu vert pour la modification de la Constitution, il n’y a pas lieu de recourir au référendum, selon les explications du président de l’ALT, Dr Ousmane Bougouma.
Si elle venait à être adoptée telle que déposée par l’exécutif, la Constitution consacrerait désormais l’officialisation des langues nationales, l’institutionnalisation d’un Conseil national des communautés, la présence dans le Conseil supérieur de magistrature (CSM) de personnalités non magistrates, la "soumission" des magistrats du Parquet à l’autorité du ministre de la justice, etc.
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